vendredi 2 avril 2010

Le Roi Polo XVIII: Sergeo Polo version 2010 chante "Amour à Deux, Amour à Vie"


La famille s’agrandit. Le tube «S.O.S» a désormais des petits frères officiels. Ainsi, Sergeo Polo est passé du statut de prisonnier à celui de Roi auto-couronné.
Il lui aura fallu cinq années pour réaliser la mue. «Amour à Deux, Amour à Vie» (2010) qui succède à «Le Prisonnier» (2005) est donc la nouvelle explosion que nous offre le désormais Roi Polo XVIII, «appellation contrôlée et protégée», comme un grand cru.

Les 9 titres qui composent l’album font voyager l'auditeur dans les terres contrastées du makossa, du zouk, des rythmes traditionnels Myènè du Gabon. Les vocal-guests de l’album, l’étoile montante Mirage supersonic, transfuge du Quartier Latin, le Gabonais Landry Ifouta et la diva congolaise Barbara Kanam participent de cette aventure africaine.


Le Roi Polo XVIII: Sergeo Polo version 2010 chante "Amour à Deux, Amour à Vie"
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Paris, 27 Mars 2010
© Jean-Jacques ESSOMBE | Cameroon-Info.Net
6 Réactions
La famille s’agrandit. Le tube «S.O.S» a désormais des petits frères officiels. Ainsi, Sergeo Polo est passé du statut de prisonnier à celui de Roi auto-couronné.
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Il lui aura fallu cinq années pour réaliser la mue. «Amour à Deux, Amour à Vie» (2010) qui succède à «Le Prisonnier» (2005) est donc la nouvelle explosion que nous offre le désormais Roi Polo XVIII, «appellation contrôlée et protégée», comme un grand cru.

Les 9 titres qui composent l’album font voyager l'auditeur dans les terres contrastées du makossa, du zouk, des rythmes traditionnels Myènè du Gabon. Les vocal-guests de l’album, l’étoile montante Mirage supersonic, transfuge du Quartier Latin, le Gabonais Landry Ifouta et la diva congolaise Barbara Kanam participent de cette aventure africaine.


Sergeo Polo, Nouvel Album - Le spot
VIDEO: © Cameroon-Info.Net MultiMedia


Le duala, l’ewodi, le basaa, le myènè, le lingala sont des langues qui conjuguent les mélodies de ce nouvel album. Yaoundé, Douala, Libreville, Kinshasa, Brazzaville, Yamoussoukro sont des grandes métropoles invitées à danser avec le Roi Polo, XVIIIème du nom.

Le thème de la mystérieuse Fanny présent sur les trois précédents albums est reconduit ici. Notre curiosité est tournée vers cette énigmatique Fanny qui semble constituer finalement l’une des principales sources d’inspiration de «l’amourologue» Sergeo Polo.

La chanson «Amour à Deux, Amour à Vie » qui donne son nom à l’album est un duo avec la chanteuse congolaise Barbara Kanam. Cette douce rumba est colorée d’une très légère et chatoyante guitare zaïroise tissée par Toto Guillaume qui s’est fait plaisir en apparaissant dans un registre inédit. Toguy assure la direction orchestrale, la réalisation et l’arrangement de l’album. Dans les tempos lents, ses guitares rayonnent, se détachent, montent ou descendent des échelles… bref, nous procurent du pur bonheur. La production Toguy est bien présente dans l’album. Les cuivres, les vents, les percussions sont d’excellente facture. Bien que les chœurs occupent une place centrale dans les productions musicales camerounaises, ce n’est pas souvent que crédit leur est accordé. Leur prestation dans cet album mérite une mention spéciale. La voix de Sergeo Polo nous entraîne, nous berce, nous enchante. Les titres « Lak-sse Mba », « Man Bassa », « Bounandjoa Oli », « J’ai Droit Au Bonheur », « Allo Gabon », « Lili » sont fondamentaux dans cette œuvre dont la réalisation a pris deux années. Il est à noter enfin que J. C. Naimro, Guy Nsangue, Michel Alibo, Manulo apportent leur expertise au nouveau son de Sergeo Polo. Chapeau au Roi Polo XVIII. La musique est son royaume.


Le Roi Polo XVIII: Sergeo Polo version 2010 chante "Amour à Deux, Amour à Vie"
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Paris, 27 Mars 2010
© Jean-Jacques ESSOMBE | Cameroon-Info.Net
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La famille s’agrandit. Le tube «S.O.S» a désormais des petits frères officiels. Ainsi, Sergeo Polo est passé du statut de prisonnier à celui de Roi auto-couronné.
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Il lui aura fallu cinq années pour réaliser la mue. «Amour à Deux, Amour à Vie» (2010) qui succède à «Le Prisonnier» (2005) est donc la nouvelle explosion que nous offre le désormais Roi Polo XVIII, «appellation contrôlée et protégée», comme un grand cru.

Les 9 titres qui composent l’album font voyager l'auditeur dans les terres contrastées du makossa, du zouk, des rythmes traditionnels Myènè du Gabon. Les vocal-guests de l’album, l’étoile montante Mirage supersonic, transfuge du Quartier Latin, le Gabonais Landry Ifouta et la diva congolaise Barbara Kanam participent de cette aventure africaine.


Sergeo Polo, Nouvel Album - Le spot
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Le duala, l’ewodi, le basaa, le myènè, le lingala sont des langues qui conjuguent les mélodies de ce nouvel album. Yaoundé, Douala, Libreville, Kinshasa, Brazzaville, Yamoussoukro sont des grandes métropoles invitées à danser avec le Roi Polo, XVIIIème du nom.

Le thème de la mystérieuse Fanny présent sur les trois précédents albums est reconduit ici. Notre curiosité est tournée vers cette énigmatique Fanny qui semble constituer finalement l’une des principales sources d’inspiration de «l’amourologue» Sergeo Polo.

La chanson «Amour à Deux, Amour à Vie » qui donne son nom à l’album est un duo avec la chanteuse congolaise Barbara Kanam. Cette douce rumba est colorée d’une très légère et chatoyante guitare zaïroise tissée par Toto Guillaume qui s’est fait plaisir en apparaissant dans un registre inédit. Toguy assure la direction orchestrale, la réalisation et l’arrangement de l’album. Dans les tempos lents, ses guitares rayonnent, se détachent, montent ou descendent des échelles… bref, nous procurent du pur bonheur. La production Toguy est bien présente dans l’album. Les cuivres, les vents, les percussions sont d’excellente facture. Bien que les chœurs occupent une place centrale dans les productions musicales camerounaises, ce n’est pas souvent que crédit leur est accordé. Leur prestation dans cet album mérite une mention spéciale. La voix de Sergeo Polo nous entraîne, nous berce, nous enchante. Les titres « Lak-sse Mba », « Man Bassa », « Bounandjoa Oli », « J’ai Droit Au Bonheur », « Allo Gabon », « Lili » sont fondamentaux dans cette œuvre dont la réalisation a pris deux années. Il est à noter enfin que J. C. Naimro, Guy Nsangue, Michel Alibo, Manulo apportent leur expertise au nouveau son de Sergeo Polo. Chapeau au Roi Polo XVIII. La musique est son royaume.


Sergeo Polo, Nouvel Album - Le Clip
VIDEO: © Cameroon-Info.Net MultiMedia



Cameroun-Info.Net: Quelle signification revêt votre nouveau pseudonyme Roi Polo VXIII ?

Sergeo Polo: Du fait que mes chansons ont été adoptées par le public, je me sens investi d’une lourde responsabilité vis-à-vis de mes fans, celle de leur faire plaisir, chaque jour, un peu plus. Avec le temps, et avec la réussite qu’ont connue mes albums précédents, ma volonté de continuer à apporter davantage de bonheur au public à travers ma musique, m’a rappelé le souci qu’ont toujours eu les rois de veiller au bonheur des peuples.

L’appellation Roi Polo XVIII traduit donc simplement le fait que, plus que jamais, je travaille pour le public, je suis soucieux de contribuer au bonheur des gens, des couples, des familles. Je voudrai que ma musique continue à illuminer le quotidien de tous. C’est ma mission, et ce n’est donc pas de la prétention.

CIN: Votre premier album solo «Carton rouge» a la marque d’Aladji Touré; les albums «Géorgie, La Chicotte de Papa, le Prisonnier» ont pour arrangeur J. P Tamba; vous venez de rompre avec eux, en franchissant le pas du géant Toto Guillaume. Parlez-nous de cette collaboration, en précisant pourquoi Toguy ?

Sergeo Polo: Je me permets d’apporter un petit éclairage : l’album Géorgie fut arrangé et produit par Aladji Touré. C’est vrai que les deux albums qui ont suivi portaient l’estampille de J.P. Tamba, avec qui j’ai d’ailleurs eu une excellente collaboration. En me tournant vers Toto Guillaume, mon intention n’était donc point de jeter aux orties tout ce que j’avais réalisé avant ou encore moins de négliger l’œuvre de mes anciens arrangeurs, mais simplement d’accomplir un désir lointain de travailler avec un virtuose de la musique camerounaise à qui je voue une profonde admiration.


CIN: Finalement, qu’est-ce qu’il vous a apporté, paraît-il pas uniquement sur le plan musical, comment a-t-il pu vous convaincre sur les choix musicaux ?

Sergeo Polo: Je puis vous dire que travailler avec Toto Guillaume a été une expérience à la fois exaltante et pleine d’enseignements. En effet, nos rapports vont bien au-delà de la relation professionnelle qu’un artiste peut entretenir avec son arrangeur. Je tiens à vous assurer ici qu’au départ, ce n’était pas facile. Il y avait quelques incompréhensions. Mais le côtoyer au quotidien, m’a certes permis de me sentir plus aguerri sur le plan musical mais aussi sur le plan humain. Ses conseils ont contribué à mieux forger ma compréhension de certains problèmes de notre société.


CIN: Vous chantez en duo avec la diva congolaise Barbara Kanam, un featuring de Mirage Supersonic, et Landry Ifouta artiste gabonais. Est-ce un choix marketing, ou y a-t-il d’autres raisons qui ont motivé cette collaboration ?

Sergeo Polo: Sergeo Polo est un artiste qui a une renommée internationale et ne fait pas la musique pour son Pays uniquement. Les artistes que vous avez évoqué tantôt et qui m’ont accompagné dans ce projet sont ceux dont le talent est reconnu et confirmé en Afrique et dans le Monde.

Je tiens à rappeler que je ne suis pas à mon premier duo. Je dirais même que le featuring dans ma discographie est presqu’une tradition. J’en veux pour preuve le titre « Pardonne-moi » avec Charlotte Dipanda, un slow avec Guy Lobè, Ben Decca et Henri Njoh dans l’album « Le prisonnier » et d’autres... Bref, c’est ma manière à moi de partager mon art avec des artistes de talent.


CIN: Si l’artiste est souvent appelé a écrire des textes sur la vie des autres, sur les maux de la société, et très souvent sur ses propres expériences ; peut-on dire que l’album « Roi Polo XVIII » est un album autobiographique ?


Sergeo Polo: Toute œuvre artistique, même lorsqu’elle est empreinte de préoccupations qui touchent l’ensemble de la société, est influencé directement ou indirectement du vécu de l’artiste. Donc sans être entièrement autobiographique, mes chansons tirent quelques fois leurs racines des expériences personnelles. L’album « Amour à deux, amour à vie » du Roi Polo XVIII ne déroge donc pas à ce principe. Il prône la paix, déclare la guerre à l’hypocrisie, à la jalousie ; et bien évidemment tous les maux qui minent notre société y sont revisités.
En un mot, cet album est une célébration de l’Amour.


CIN: Supposons un instant que les autorités gabonaises réagissent au titre: «Allo Gabon» sur lequel vous ne tarissez pas d’éloges, en vous offrant une villa; irez-vous donc vivre là-bas et épouser une gabonaise ?

Sergeo Polo: (Eclats de Rires) Rien n’est impossible! Je préfère ne pas dresser des plans sur la comète. Le Gabon est un pays qui m’a toujours réservé un accueil chaleureux. Je m’y sens aussi bien là bas qu’au Cameroun chez moi. J’ai appris à apprécier tous les présents qui me sont offerts...


CIN: Pour revenir sur l’album, quels sont les titres qui vous accrochent le plus, pouvez vous dire deux mots sur ses titres et sur ce qui vous a conduit à les composer ?


Sergro Polo: Question quelque peu difficile. Car chacun des titres de cet album a son histoire et sa signification. De même que je les apprécie tous.

Disons pour être plus précis que je suis comme un père qui ne peut accorder plus d’estime à un enfant au détriment d’un autre. Mes chansons sont écrites et composées avec la même rigueur et la même passion bien que des textes soient différents des uns des autres.


CIN: Lorsque nous préparions cette interview, j’évoquais avec vous les charlestons, violons, flûte qui introduisent la chanson: « Bounandjoua Oli » et vous de me dire qu’il ne s’agit pas de charlestons. On parle très peu des structures de chansons; éclairez-nous un peu sur la structure des chansons comme « Bounandjoua Oli et Lak-sse-mba » par exemple qui ont une structure musicale particulière ?

Sergeo Polo: J’ai eu la chance d’avoir comme arrangeur de cet album « Amour à deux, amour à vie », Toto Guillaume, un musicien exceptionnel qui, non seulement sait écrire des arrangements mais sait aussi utiliser tous les instruments musicaux bien au-delà de ce que vous pouvez vous imaginer. Tenez par exemple la percussion appelée « shaker » dont le son s’apparente à celui des charlestons dont nous parlions tout à l’heure et qu’on entend tout au long de la chanson. Cela a été une surprise pour moi de le voir jouer de cet instrument différent de la guitare dont nous le savions maître.

Parlant de la structure musicale des chansons de cet album, je lui ai soumis des maquettes réalisées avec des frères et amis Aubin Sandjo, Ruffin Lembè et Belmond De Beauville. Une fois au studio, je me suis rendu compte que ses choix musicaux étaient bien différents des maquettes initiales. Ce qui a bien valu des interrogations de ma part à ce sujet. Il m’a fait comprendre que j’étais un chanteur à voix et pour la mettre en évidence, il fallait un petit peu ralentir le tempo et utiliser moins d’instruments de manière à aérer les chansons.

Depuis la sortie de l’album au Cameroun, les avis sont plutôt favorables sur sa réalisation globale.


CIN: Lors d’une interview accordée a CIN en 2006, interrogé sur Fanny, vous aviez dit je cite: « je m’inspire aussi des histoires des autres pour écrire mes chansons… » On a envie de vous croire. Un des vôtres que je ne citerai pas m’avait confié hors micro après interview ceci : « C’est une déception amoureuse qui est l’origine très souvent de mon inspiration ». N’y a-t-il pas cet aspect dans «Fanny», sincèrement. Doit-on s’attendre à de prochains épisodes de la saga fanny ?

Sergeo Polo: Sincèrement, j’ai déjà répondu à maintes reprises à cette question en disant qu’il s’agissait d’une fiction. Donc ceux qui affirment le contraire doivent assumer leurs propos. Quant à savoir si la saga va continuer, je ne saurais vous répondre car la réalisation de chaque album s’inscrit toujours dans un contexte particulier. Alors, laissons d’abord le nouvel album faire son chemin avant d’envisager le prochain.


CIN: L’amour est le thème dominant dans vos chansons, vous êtes en quête permanente de cet amour; y a-t-il une raison ?

Sergeo Polo: L’Amour est la plus belle chose qui soit. Je l’évoquerai toujours. Cet album comme bien d’autres est une exhortation à le célébrer. Quoi de plus beau que d’aimer et de sentir aimé. Disons à ceux que nous aimons que nous les aimons ! Disons le leur aujourd’hui, disons le leur souvent, disons le leur toujours.


CIN: l’album sort cette semaine en Europe; quelle est votre plan de promotion ?

Sergeo Polo: Il y a un spot annonçant la sortie de l’album qui passera dans les différentes chaînes de Télévision présentes sur le Bouquet Afrique en Europe. Je me ferai aussi le plaisir d’être invité dans de différentes émissions de radio et de télévision pour parler de l’album.


CIN: Où pourra t-on acheter ce nouvel album ?

Sergro Polo: L’album est distribué en Europe par Kiki Touré sur le label KIKI productions; sinon vous le trouverez chez les revendeurs habituels.


CIN: Et les internautes ?

Sergeo Polo: Les internautes pourront écouter des extraits des chansons de l’album sur certains sites internets partenaires et pourront se le procurer sur simple demande à l’adresse email suivante:

sergeopolopresident(a)yahoo.fr.

Et ce, en attendant la mise en ligne de mon site internet officiel sergeopolo.com dans lequel, on retrouvera toutes les informations concernant l’artiste et sa carrière.


CIN: L’amourologue que vous êtes a-t-il des passions ?

Sergeo Polo: Oui et ma véritable passion est l’Amour qui pour moi, doit être le vecteur de toutes relations humaines. Et bien entendu, comme je n’ai cesse de le signifier dans mon album, vaudrait mieux faire l’amour que la guerre.


CIN: Si vous n’étiez pas artiste, que feriez vous ?

Sergeo Polo: (Rires). Depuis ma prime enfance, j’ai toujours eu la passion du métier d’enseignant. Mais très vite cette envie s’est effritée. Face aux vicissitudes de la vie, j’ai toujours tendance à user de l’humour pour banaliser les situations même les plus éprouvantes. Je pense que j’aurais aussi pu être humoriste mais à quelle échelle ? Je n’en sais rien.


CIN: Que représente Dieu pour vous ?


Sergeo Polo: Je suis un fervent croyant. Et Dieu m’accompagne beaucoup dans mon métier que j’essaie de faire du mieux que je peux depuis tant d’années. Je fais d’une manière perpétuelle une exhortation à Dieu de m’accorder sa grâce et de m’aider à faire mieux que la fois d’avant. Mais aussi qu’il parvienne à couver le monde de sa bénédiction afin qui y règne la paix.


CIN: Un dernier mot ?

Sergeo Polo: Je tiens avant tout à vous remercier pour cette colonne que vous m’offrez pour parler de mon nouvel album. Je saisis aussi l’occasion que vous me donnez pour remercier tous ceux qui ont déjà acheté mon album et qui l’ont accueilli favorablement. Pour ceux qui ne l’ont pas encore, il est disponible chez KIKI Productions et ils peuvent aussi se le procurer sur simple demande à cette adresse :

sergeopolopresident(a)yahoo.fr.

J’espère avoir répondu à travers cet album aux différentes exigences de mon public. Je ne ménagerai aucun effort pour aller encore plus haut dans leur estime en travaillant plus rigoureusement.

Inutile de parler ici du piratage, nous avons depuis toujours évoqué ce fléau et le préjudice qu’il cause à la profession artistique. Je souhaite que le public camerounais adopte la culture de l’achat des CD et DVD des artistes qu’ils aiment comme le font nos frères du Congo.

CIN: Merci à toi

Sergeo Polo: Merci encore et bon vent.

Jean-Jacques ESSOMBE

http://cameroon-info.net/stories/0,26384,@,le-roi-polo-xviii-sergeo-polo-presente-son-nouvel-album.html
Cameroon-Info.Net

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